Pour connaître les personnes ressources du site PRATIQUES EN SANTE : https://www.pratiquesensante.org/personnes-ressources/
Vous pouvez aussi participer
https://docplayer.fr/215776504-Pas-a-pas-votre-enfant-mange-comme-un-grand.html
Nourrir son enfant, c’est bien sûr le faire manger, mais aussi guetter ses réactions, s’adapter, communiquer avec lui, l’accompagner vers l’autonomie... Les repas sont des moments forts dans la relation parents/ enfant. Ce petit guide vous accompagne dans la diversification alimentaire de votre enfant, dès qu’il commence à prendre autre chose que du lait jusqu’à ce qu’il mange - presque - comme les grands. Les trois premiers chapitres vous proposent des conseils et repères utiles du début de la diversification jusqu’à ses 3 ans. Les chapitres suivants abordent les différentes recommandations alimentaires pour votre enfant selon son âge. Une affichette recto-verso insérée dans ce guide vous permet d’avoir toujours sous les yeux un résumé des recommandations principales de ce guide.
https://fedecardio.org/wp-content/uploads/2021/04/Juill-2019-Alimentation-Web.pdf
Les maladies cardiovasculaires sont à l’origine de 147 000 décès annuels en France mais également d’un très grand nombre d’examens, de soins, d’interventions chirurgicales et de traitements médicamenteux dans notre pays. Même si d’immenses progrès ont été réalisés depuis plusieurs dizaines d’années dans la prise en charge des patients, ceci reste encore trop élevé, d’autant plus qu’une grande partie est évitable par une bonne prévention. Cette prévention est de la responsabilité de tous, médecins, patients et bien portants, pouvoirs publics et entreprises privées. Elle est à notre portée de main car les deux tiers des facteurs de risque des maladies cardiovasculaires sont modifiables par notre comportement et nos choix de vie. Certes rien n’est facile, mais rien n’est impossible. On a longtemps parlé du tueur silencieux à propos de l’hypercholestérolémie, de l’hypertension artérielle ou du diabète, ce qui a pu expliquer une certaine négligence. Mais aujourd’hui ces mauvais amis sont connus de tous, et de plus on peut les maitriser. Des médicaments existent mais leurs effets sont affaiblis par une mauvaise alimentation. A contrario une bonne hygiène de vie potentialise leur impact. Adopter un mode de vie équilibré peut permettre de réduire son traitement voire dans le meilleur des cas s’en passer. Tout le monde est gagnant. Sans compter la multitude des autres bienfaits que le corps, la tête… et le cœur peuvent tirer de ces changements positifs. Alors on s’y met, en mettant un pas devant l’autre, en améliorant ce que l’on peut, aujourd’hui.
Les travaux du Crédoc sur la consommation présentent un double intérêt, à la fois sociographique et théorique. Ils constituent d’abord des archives immédiates sur le développement de la consommation marchande en France depuis les années 1950, car l’apport du Crédoc est important pour la sociographie et l’histoire de la société de consommation. Ainsi, le centre a participé à la réalisation d’enquêtes sur les budgets de familles en collaboration avec l’Insee dans les années 1950, puis il a développé ses propres enquêtes sur la consommation dans les décennies qui ont suivi, en particulier dans les années 1980 et 1990. Mais les travaux du Crédoc ne font pas que décrire la réalité en produisant des données sociales ; ils ont aussi un grand intérêt théorique. Les recherches empiriques reposent sur des éléments de problématique dont les contours ont été précisés peu à peu au fil des ans mais surtout, il s’en dégage des orientations théoriques qui amènent à penser différemment le phénomène de la consommation marchande en sciences sociales. Nous retiendrons de l’examen attentif de plusieurs centaines de publications du Crédoc que la consommation doit être comprise, interprétée et expliquée à partir des raisons des acteurs sociaux au sens large, ce qui inclut aussi bien les consommateurs eux-mêmes que les distributeurs, sans oublier les sociétés productrices. L’analyse par générations — rendue possible avec le cumul d’enquêtes transversales comparables — illustre fort bien la justesse de cette perspective, davantage fructueuse sur le plan de l’explication que certaines hypothèses à caractère holiste des années 1960. La formule « à nouveaux consommateurs, nouvelles stratégies industrielles » résume bien un changement de perspective dans la lecture du phénomène de la consommation que l’on doit en bonne partie aux recherches du Crédoc.....
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Le titre-restaurant, avantage social et économique du quotidien perçu comme incontournable par les salariés, est un levier de qualité de vie au travail : 82% d’entre eux affirment qu’il constitue un élément de la qualité de vie au travail, 72% qu’il permet de se sentir mieux au travail. Pour les salariés, bénéficier de titres-restaurant permet de favoriser le sentiment de reconnaissance et d’engagement, d’alimenter le dialogue et de soutenir la cohésion sociale au sein de l’entreprise, enfin de déconnecter recharger les batteries. Les titres-restaurant sont une garantie d’une pause déjeuner de qualité, propice au mieux manger ensemble : les déjeuners des bénéficiaires par rapport aux non bénéficiaires sont : plus longs, plus conviviaux, plus propices à l’échange et à la détente et plus complets (entrée, plat, dessert).
La Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) et l’Institut national de la Statistique et des Etudes Economiques (Insee) publient de tout premiers résultats provisoires d’un dispositif de suivi de l’aide alimentaire en France mis en place début 2021. Une nette hausse des volumes distribués par les associations et des inscriptions est observée en 2020 par rapport à 2019, traduisant à la fois un afflux de nouveaux bénéficiaires mais également un recours à l’aide alimentaire plus important pour les personnes inscrites de plus longue date. Cette hausse est toutefois inégale selon les réseaux de distribution. Interrogés sur leur perception de l’évolution des publics accueillis, les responsables de centres de distribution citent principalement une augmentation de la part des personnes seules, des travailleurs précaires et des familles monoparentales.
Les projets alimentaires territoriaux (PAT) ont pour objectif de relocaliser l'agriculture et l'alimentation dans les territoires en soutenant l'installation d'agriculteurs, les circuits courts ou les produits locaux dans les cantines. Issus de la Loi d'avenir pour l'agriculture qui encourage leur développement depuis 2014, ils sont élaborés de manière collective à l’initiative des acteurs d'un territoire (collectivités, entreprises agricoles et agroalimentaires, artisans, citoyens etc.).
Viviane Valla, ancienne cheffe du bureau du pilotage de la politique de l'alimentation, expose leurs enjeux économiques, sociaux, environnementaux et de santé ainsi que leur utilité dans le développement des territoires.
POUR EN SAVOIR PLUS : https://letsfoodcities.com/en-france/grenoble-france
(CoviPrev, 2020)
http://beh.santepubliquefrance.fr/beh/2021/Cov_7/2021_Cov_7_1.html
Corinne Delamaire (corinne.delamaire@santepubliquefrance.fr), Barthélémy Sarda, Pauline Ducrot, Charlotte Verdot, Valérie Deschamps, Anne-Juliette Serry
Santé publique France, Saint-Maurice
Cette étude montre un impact du confinement sur plusieurs comportements alimentaires, particulièrement chez les femmes. S’il a pu favoriser la cuisine-maison, d’autres changements étaient plutôt défavorables à la santé. Ces résultats suggèrent que des confinements répétés risqueraient d’aggraver les pathologies liées à l’alimentation. Dans de tels contextes, il est nécessaire de poursuivre l’évaluation des comportements alimentaires et du poids corporel et de soutenir toutes mesures de santé publique encourageant des habitudes alimentaires saines.
https://agriculture.gouv.fr/le-catalogue-officiel-des-varietes-quest-ce-que-cest
Les semences ne sont pas une ressource comme les autres. Elles contiennent un matériel génétique souvent issu d’un long travail de sélection variétale et portent en elles un potentiel agronomique qui s’exprimera une fois les semis réalisés. Faire le bon choix au moment de l’achat des semences est essentiel pour l’agriculteur car cela conditionne en partie la future récolte. Mais comment choisir ses semences en étant sûr que la promesse agronomique ou technique affichée par le vendeur est fiable et contrôlée ? C’est tout l’objet du Catalogue officiel des espèces et variétés des plantes cultivées.
https://www.cerin.org/wp-content/uploads/2021/03/Alimentation-sante-et-petit-budget-90-1.pdf
ET
Les Banques Alimentaires publient le profil des bénéficiaires - https://www.banquealimentaire.org/les-banques-alimentaires-publient-le-profil-des-beneficiaires-3879
Tous les deux ans, l'institut CSA réalise une étude pour les Banques Alimentaires, afin de définir le profil des bénéficiaires de l'aide alimentaire et de proposer des solutions adaptées. Menée du 30 septembre au 10 novembre 2020 auprès de 1000 bénéficiaires des associations partenaires de la Fédération Française des Banques Alimentaires, cette étude éclaire et permet de mesurer l'impact de la crise sanitaire sur la précarité alimentaire.
Ce rapport présente les résultats du volet 1 de l’évaluation de la mise en œuvre du Plan d’action pour réduire la consommation des boissons sucrées et promouvoir l’eau (PABSE). En raison de la pandémie de la COVID-19, les résultats du volet 2 feront l’objet d’une publication séparée. Le PABSE était accompagné d’un plan de mise en œuvre des actions de santé publique sur les boissons sucrées et l’eau (PMOBSE) qui comprenait neuf actions. Pour l’évaluation de la mise en œuvre du PABSE, deux actions du PMOBSE ont été retenues. Au total, 36 entrevues ont été réalisées avec 45 participants dans trois régions sociosanitaires du Québec (Côte-Nord; Lanaudière et Montréal). Les entrevues étaient avec des responsables du PABSE au sein des directions de santé publique (DSPublique) et leurs représentants territoriaux, des professionnels des milieux scolaires, municipaux et des services de garde éducatifs à l’enfance (SGÉE). Le PABSE est généralement bien accepté par les participants des différents milieux et plusieurs actions sont mises en œuvre notamment celles visant la valorisation de la consommation de l’eau.
https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-02987866/document
Parmi les consommations alimentaires survenant en dehors des trois repas principaux (petit déjeuner, déjeuner et dîner), le goûter a une place bien à part, en particulier en France, où il est ancré dans les habitudes de consommation des enfants et perdure souvent au-delà. Sans que sa consommation soit déconseillée, les autorités de Santé Publique en France recommandent que le goûter ne soit consommé qu’en réponse à une sensation de faim et qu’il soit composé de deux aliments de bonne qualité nutritionnelle, à choisir entre produit laitier, fruit et produit céréalier. La réalité des pratiques observées indique que ces recommandations ne sont que partiellement suivies et c’est dans ce contexte que s’inscrit le travail de D. Poquet. Sa recherche s’attache aux choix alimentaires lors du goûter en prenant en compte la dyade mère-enfant, afin de considérer les relations interpersonnelles, particulièrement importantes chez des enfants de 7 à 11 ans, chez qui les préférences s’affirment et les habitudes alimentaires se déterminent, et qui perdureront largement à l’âge adulte
BRAESCO V. - Academie-agriculture.fr, février 2021, 3 p.
Rapport : https://www.anses.fr/fr/system/files/NUT2018SA0238Ra.pdf
Apportés essentiellement par notre alimentation, les vitamines et minéraux sont nécessaires à la croissance, au bon fonctionnement de notre organisme et au maintien en bonne santé. L’Anses actualise aujourd’hui les références nutritionnelles en vitamines et minéraux qui définissent les quantités permettant de couvrir le besoin en nutriments des populations, sans conduire à des excès. Ces valeurs ont vocation à devenir les références pour tous les professionnels du secteur de la nutrition et de la santé.
https://www.stripfood.fr/pedagogie-alimentaire-top-5-des-initiatives-francophones/
Parce que de nombreux projets doivent être valorisés, en voici quelques exemples pour faire un petit tour d’horizon francophone d’initiatives réussies. Une sélection proposée par Emilie Orliange et Marie-Pierre Membrives.
- Swiss Food Academy (Suisse)
- C’est Moi le Chef ! (Québec)
- Les Enfants Cuisinent (France)
- L’école Comestible (France)
- Meal Canteen (France)
Les replay : https://www.youtube.com/watch?v=0mJ32RVRUh0
Alors que le monde a subi de plein fouet la crise de la Covid et que la prise de conscience environnementale est désormais générale, le bien manger apparait comme un enjeu. Alors comment (ré) apprendre à bien manger ? Planet Food Santé a organisé le 22 avril un nouveau webinaire sur les multiples leviers de l’éducation alimentaire, en partenariat avec FLD - groupe Réussir et TasteBuds.
Alors que l’impact environnemental de l’alimentation, notamment en termes d’émissions de gaz à effet de serre est de plus en plus étudié, plusieurs travaux scientifiques récents soulignent qu’une évolution des habitudes alimentaires pourrait le réduire très significativement. Dans le cadre d’une conférence organisée par le Fond français de l’alimentation le 30 mars dernier, Nicole Darmon Directrice de recherche à l’Inrae, est intervenue sur le thème « Une alimentation plus durable : oui, mais comment ? ». Elle a fait le point sur ses recherches destinées à proposer des recommandations pour une alimentation saine et durable, accessible et acceptable par tous.
Dans le cadre de la création d’outils d’animation, le Crips Île-de-France a diffusé une enquête auprès des jeunes sur le thème de l'alimentation et de l’image du corps. L’objectif ? Comprendre leurs besoins en matière de prévention et de promotion de la santé sur cette thématique.
Coup d'œil sur les résultats
Sur les 522 réponses récoltées et analysées :
72 % sont des 15-17 ans
66 % sont des filles
Les résultats nous révèlent que l’image du corps est un sujet de réflexion presque deux fois plus fréquent que l’alimentation. En effet, 81 % des jeunes déclarent penser tout le temps ou souvent à leur image et à leur corps, tandis que 46 % le font pour l’alimentation. Sur les deux thématiques soulevées, les filles sont plus concernées et ont un taux de réponses plus élevé que les garçons.
On constate aussi que l’alimentation est un sujet plutôt neutre et ne divise pas.
En revanche, l’image du corps est source d’inquiétude pour 60 % des filles, tandis que la tendance s’inverse pour les garçons puisque 60 % d’entre eux trouvent que c’est une source d’intérêt.
https://cna-alimentation.fr/wp-content/uploads/2021/03/vademecum-education-alimentation.pdf
Acte social et culturel, l’alimentation est au croisement d’enjeux multiples en matière de santé,
d’environnement et de citoyenneté et fait l’objet d’une attention renforcée par les politiques publiques.
Si l’éducation à l’alimentation et au goût relève en premier lieu de la famille, elle se développe également à travers les différents milieux de vie de l’enfant et de l’adolescent, à l’École bien sûr mais également dans le secteur des loisirs et des sports. L’École a là tout son rôle à jouer : par l’acquisition de compétences et de connaissances dans le domaine de l’alimentation, l’élève devient progressivement apte à faire des choix alimentaires pour sa santé, pour l’environnement, tout en mettant à distance les messages publicitaires et, in fine, d’exercer un esprit critique éclairé et plus tard sa citoyenneté. En ce sens, elle dépasse largement la seule éducation nutritionnelle. Ce vademecum vise à articuler les objectifs de santé, de développement durable et de citoyenneté dans le cadre d’une éducation à l’alimentation et au goût qui mobilise toute la communauté éducative et les partenaires de l’École. Il présente l’organisation de cette éducation à l’alimentation et au goût en milieu scolaire et se prolonge par des ressources mises en ligne sur le portail Éducation à l’alimentation et au goût du site Éduscol : https://eduscol.education.fr/pid32788/education-a-l-alimentation-et-au-gout.html
https://ireps-bfc.org/sinformer/manger-mains-domicile-guide-pratique
Le manger mains est un mode d’alimentation qui favorise l’autonomie de la personne qui a des difficultés de préhension des couverts et/ou ne sait pas comment s’en servir (personnes atteintes de maladies d’Alzheimer ou apparentées, personnes victimes d’accidents vasculaires cérébraux, personnes en situation de handicap…). Cela consiste d’élaborer et de proposer les aliments sous forme de bouchées facilement préhensibles pour favoriser le plaisir et l’autonomie avec différentes possibilités de textures.
La Charte visant à promouvoir une alimentation et des comportements favorables à la santé dans les programmes audiovisuels et les publicités prend la suite de la charte visant à promouvoir une alimentation et une activité physique favorables à la santé dans les programmes et les publicités diffusés à la télévision. Elle est applicable à compter du 1er février 2020 pour une durée de cinq ans.
En France et dans les pays développés, on consomme globalement plus que nos véritables besoins. Néanmoins, les préoccupations environnementales actuelles commencent à induire des changements dans les manières de consommer et de s’alimenter.
Un prix élevé n’est pas le seul signe d’une qualité élevée des produits alimentaires. Une production agro-alimentaire respectueuse de son environnement, locale et durable en est aussi un.
Selon le ministère de l’éducation nationale et de la jeunesse et en adéquation avec le ministère de l’agriculture et de l’alimentation, il faut éduquer les nouvelles générations à ces problématiques.
C’est ainsi que vont être mises en place des actions innovantes dans les collèges et lycées de certaines régions afin de commencer à sensibiliser et encourager au bien manger.
Cette table ronde a été co-organisée par la Fondation Daniel et Nina Carasso et AgroParisTech, avec la participation des étudiants de la formation Gestion des territoires et développement local (GTDL) de l’Université Paris Saclay.
Santé des écosystèmes et des populations humaines : comment nos systèmes alimentaires contribuent-ils à nous protéger ? Comment nous mettent-ils en danger ? Repenser notre rapport au vivant pour protéger notre santé commune amène des remises en question profondes des modèles actuels.
Retrouvez la synthèse écrite de cette session rédigée par Raphaël Mège, et découvrez ci-dessous la synthèse visuelle réalisée par Mai-Lan Tran Bernaud
N°14 | Année 2021 : revue "Sciences et Actions Sociale"
Jeanne Chanet-Garcia, Régis Pierret, Michel Streith
Alimentation, intervention sociale et société [Texte intégral]
Dans ce numéro de la revue Sciences et Actions Sociales, nous interrogeons l’impact des nouvelles formes d’alimentation sur l’action
sociale.
Dossier
Arine Kassabian
Migrations, précarités et aides alimentaires. Adaptations d’une association caritative
aux demandes d’un public émergeant [Texte intégral]
La culture culinaire d’une région intègre les héritages du passé et expériences du présent, et est à l’image de ses ressources et contraintes...
Maisons Relais de La Sauvegarde du Nord
L’expérience alimentaire au sein des maisons relais [Texte intégral]
À travers les témoignages d’hôtes de maisons relais ainsi que de résidents, le présent article entend rendre compte de la démarche des repas collectifs menée dans les maisons relais gérées par
les professionnels de La Sauvegarde du Nord...
Denis Fleurdorge
Manger dans la rue. Approche anthropologique d’une pratique sociale
impossible [Texte intégral]
Manger ou se nourrir, occupe une place fondamentale dans l’ensemble des actes sociaux les plus ordinaires...
Sonia Bouima
Rejouer sa condition sociale sur la scène de l’alimentation partagée : le cas des
ateliers culinaires et des repas partagés pour « bien-vieillir » [Texte intégral]
Depuis le début des années 2000, les sociabilités alimentaires sont devenues un des enjeux majeurs des politiques gérontologiques françaises...
Depuis deux décennies, le réseau NACRe (réseau National Alimentation Cancer Recherche) fait avancer les connaissances sur les liens entre nutrition et cancer. Il met aussi à disposition du public les derniers résultats de la recherche dans ce domaine.
Fruits et légumes, fibres alimentaires, produits laitiers : à l’occasion de son vingtième anniversaire, voici une présentation des principaux facteurs nutritionnels reconnus comme réduisant le risque de cancers.
Ce rapport de l’Oqali fait le point sur le déploiement du Nutri-Score, trois ans après la mise en place du dispositif. Les données sont issues à la fois des remontées des industriels et des achats effectués directement dans différents points de vente ainsi qu’en ligne. Plusieurs évolutions sont étudiées : part des marques engagées, répartition des produits entre les différentes classes (de A à E), différence entre la vente directe et le e-commerce, impact du Nutri-score sur les prix, etc.
L’Assemblée générale des Nations Unies a déclaré 2021 Année internationale des fruits et des légumes.
L'article : http://www.fao.org/fruits-vegetables-2021/fr/?utm_source=twitter&utm_medium=social%20media&utm_campaign=fao
Axes des actions : http://www.fao.org/fruits-vegetables-2021/fr/?utm_source=twitter&utm_medium=social%20media&utm_campaign=fao
Le document de référence (en anglais) The International Year of Fruits and Vegetables, 2021, background paper : http://www.fao.org/documents/card/en/c/cb2395en
La FAO est l’organisme chef de file de cette manifestation, en collaboration avec d’autres organisations et organes compétents du système des Nations Unies.
Cette Année internationale des fruits et des légumes offre une occasion exceptionnelle de sensibiliser le public au rôle important des fruits et des légumes dans la nutrition, la sécurité alimentaire et la santé humaines, ainsi que dans la réalisation des objectifs de développement durable des Nations Unies.
Alors que les Français ont vécu deux confinements, on observe des réactions contrastées parmi eux. La pandémie est venue bousculer leurs certitudes et leurs pratiques en matière de consommation responsable. Elle les a conduits à davantage réfléchir à leurs modes de consommation. Ce 2ème baromètre de la transition alimentaire, 9 mois après le début de la crise sanitaire en France, ne prétend pas tirer des conclusions définitives, mais souligne des inflexions sans doute profondes.
https://www.nutrimis.com/blog/alimentation-sur-criteres-sociaux-existe-t-il-un-determinisme
L’alimentation fait partie intégrante dans la vie de chaque être humain. Cependant, les pratiques diffèrent d’un pays à un autre, d’une région à une autre et même d’une famille à une autre.
Etant donné la place importante que joue l’alimentation sur notre santé, on se demande alors si ces différences sont déterminées par le seul libre arbitre d’un individu ou si elles sont dictées par des processus sociaux échappant à notre conscience. En d’autres termes : existe-t-il un déterminisme social dans nos pratiques alimentaires ?
https://cna-alimentation.fr/avis/tous-les-avis/
Le CNA est une instance consultative indépendante, placée auprès des ministres chargés de l’environnement, de la consommation, de la santé et de l’agriculture. Il est consulté sur la définition de la politique de l’alimentation et émet des avis à l’attention des décideurs publics et des différents acteurs de la filière alimentaire sur des sujets tels que la qualité alimentaire, l’information des consommateurs, la nutrition, la sécurité sanitaire, l’accès à l’alimentation, la prévention des crises. L'avis 87; à venir, sera sur l'alimentation durable
LAURIN L. - Longueuil (Québec) : Association québécoise de la garde scolaire, 2020, 40 p.
Ce guide pratique a été conçu dans le but de fournir des ressources et des outils pratiques afin de soutenir les intervenants scolaires. Bien que les exemples donnés fassent référence à la garde scolaire et aux écoles primaires, le guide est également approprié pour les écoles secondaires. Les ressources et les outils sont conçus pour être utilisés dans le cadre d’un programme de soutien alimentaire, mais ils pourront certainement être utiles dans d’autres contextes, comme dans la planification d’ateliers culinaires ou encore de repas offerts par un traiteur scolaire ou même lors d’événements scolaires ou de collectes de fonds.
https://savoirsdintervention.org/nutrition/
Le Site Savoirs d’intervention/nutrition de 0-25 ans. Destiné aux professionnels qui construisent leur projet de promotion de la santé sur la nutrition ou souhaitent revisiter un projet qu’ils mettent déjà en œuvre, ce site propose de mettre en lumière des grandes stratégies d’action reconnues comme efficaces dans la littérature et par les professionnels. Afin de faciliter leur mise en œuvre, certaines de ces stratégies sont déclinées en leviers d’intervention, détaillés et agrémentés d’exemples concrets.
https://www.lesrecettesdesylvie.org/
Ce site est destiné à vous accompagner dans votre alimentation suite à une intervention chirurgicale pour un cancer ORL.
Les recettes ont été élaborées par une ancienne patiente et validées par une diététicienne spécialisée.
Les informations fournies sur ce site sont destinées à améliorer, non à remplacer, la relation qui existe entre le patient et son médecin
Fruit d’une vaste recherche documentaire et de nombreuses entrevues, le premier volet de ce dossier spécial décortique le concept de littératie alimentaire qui fait d’ailleurs l’objet d’un intérêt grandissant dans le monde de la recherche universitaire.
http://elaninterculturel.com/wp-content/uploads/2017/11/alce_book_fr-1-1-1-1.pdf
Ce livre est un des résultats du projet Appetite for Learning Comes with Eating (L’Appétit d’Apprendre vient en mangeant) réalisé grâce au programme Européen LLP Grundtvig (Programme d’Education et de formation tout au long de la vie). Le projet s’est déroulé dans cinq pays européens: l’Italie, la Grande-Bretagne, la France, l’Autriche et la Lituanie. Il a pour objectif de briser les barrières entre les jeunes, les personnes âgées et les communautés locales via le développement d’un programme d’apprentissage non-formel, qui encourage les dialogues intergénérationnels et interculturels. Vous trouverez ici des recettes traditionnelles, des recettes «fusion», et des remèdes naturels de guérison, transmis par les participantes du projet. Il s’agit de femmes senior migrantes et non. Ces femmes ont partagé leurs traditions culturelles et culinaires et ont pu échanger autours de la préparation des plats.
https://www.e-cancer.fr/content/download/297450/4239901/file/RappNut2020_112p_web.pdf
Il est estimé que 3,8 millions de personnes en France vivent aujourd’hui avec un cancer ou en ont guéri (INCa, 2019). Les progrès dans le dépistage, le diagnostic et les traitements ont permis d’améliorer la survie des patients pour la plupart des cancers (INCa, 2016). L’enjeu d’une prise en charge en cancérologie ne vise plus seulement à traiter la maladie, mais également à réduire les risques de morbidité et de mortalité. Dans ce sens, le Plan cancer 2014-2019 a inscrit la nécessité de généraliser une démarche de prévention après un diagnostic de cancer (prévention tertiaire), incluant notamment le sevrage tabagique, la promotion de comportements nutritionnels adaptés et la réduction de la consommation d’alcool. Le diagnostic de cancer apparait comme un événement opportun pour adopter des comportements plus sains du fait de la réception particulière des patients aux messages de réduction des risques, sous réserve que l’état clinique et nutritionnel le permette (Demark-Wahnefried, 2005; INCa, 2018).
https://promosantepdl.fr/page-42-0-0.html
L’éducation nutritionnelle est une priorité des programmes de santé publique et de promotion de la santé, en France et dans le monde. Les multiples enjeux qui l’accompagnent, notamment son interaction avec les inégalités sociales de santé, en font un thème de prédilection pour l’amélioration de la santé globale (physique, mentale et sociale) des populations et ce depuis le plus jeune âge. L’objectif de ce Porte-Clés est ainsi de faciliter l’accès aux connaissances et outils indispensables pour appréhender ces enjeux et intervenir en éducation nutritionnelle avec les enfants, dans une logique de promotion de la santé.
Les enfants de la maternelle au primaire sont plus particulièrement ciblés par ce numéro mais certains repères abordent également la toute petite enfance ou bien sont applicables aux adolescents.
Ce Porte-Clés Santé s’adresse à tout acteur agissant pour une meilleure santé des enfants : responsables politiques, professionnels et bénévoles de différents secteurs (éducatif, social, sanitaire, médicosocial, collectivités, privés…) qu’ils interviennent auprès des enfants, de leurs parents ou entourage.
https://eduscol.education.fr/pid39221/education-alimentation-gout.html
Une valorisation de ressources référencées par les différents ministères en charge de l'éducation, de l'agriculture, et de la santé pour favoriser la mise en place d'actions d'éducation à l'alimentation et au goût
Les enjeux de l'éducation à l'alimentation et au goût en milieu scolaire
Le code de l'éducation (article L. 312-17-3) prévoit qu'une information et une éducation à l'alimentation et au gaspillage alimentaire soient dispensées en milieu scolaire. L'École est en effet un lieu privilégié pour permettre aux élèves d'aborder la totalité du fait alimentaire articulant les différentes dimensions de l'alimentation (nutritionnelle, sensorielle, environnementale et écologique, culturelle et patrimoniale). Cette éducation transversale répond tout à la fois aux enjeux de santé publique, environnementale et de justice sociale.
Le HCSP actualise les repères alimentaires du Programme national nutrition santé pour les enfants de 0 à 36 mois et de 3 à 17 ans. Ces nouveaux repères alimentaires vont servir de support pour l’élaboration des messages et la communication destinée au grand public élaborés par Santé publique France. Cet avis comporte des repères chiffrés pour les différents groupes alimentaires en cohérence avec l’avis élaboré pour les adultes, mais aussi des recommandations générales concernant l’équilibre alimentaire global de l’enfant ainsi que les enjeux spécifiques aux différents âges de l’enfant.
Les repères ont été définis en termes de santé publique dans le but de permettre un état de santé et une croissance optimale à tous les enfants. Etant donné les freins multiples (sociaux, économiques...) pour tendre vers ces repères pour toutes les familles, le HCSP considère que des mesures de santé publique adaptées devraient être mises en œuvre pour permettre à tous de les atteindre, notamment pour les populations socialement vulnérables. Ces mesures permettant de faciliter l’accessibilité physique et économique aux groupes d’aliments recommandés d’une part et de réduire l’attractivité des produits de moins bonne qualité nutritionnelle d’autre part, ont été décrites dans le rapport du 12 septembre 2017 « Pour une Politique nutritionnelle de santé publique en France. PNNS ».
Éduquer la population générale à l’alimentation n’est pas une tâche aisée, c’est pourquoi le CNA a rédigé un avis sur la question. Leurs recommandations reposent sur une éducation à tout âge afin d’apporter une autonomie aux personnes, autonomie qui est accompagnée d’une vision globale de l'alimentation ainsi que d'une cohérence et d'une complémentarité des messages éducatifs.
Afin de promouvoir les dernières recommandations nutritionnelles pour les adultes parues en 2019, cette brochure a pour objectif d'aider la population à améliorer son alimentation au quotidien par des conseils simples, des astuces ludiques et des recettes bon marché, dans une démarche de changement progressif.
https://agriculture.gouv.fr/telecharger/119397
Les sources d’information et les enquêtes sur les comportements alimentaires apportent souvent de précieux résultats, mais elles souffrent aussi de biais créant parfois des décalages entre comportements déclarés et réels. Non spécifiques à l'alimentation, ces écarts sont liés aux caractéristiques des répondants, aux contextes de leurs réponses, aux démarches et méthodes de recueil des informations et à leurs modalités ultérieures de traitement. Du fait de leurs impacts potentiels sur le pilotage de l'action publique, le ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation, l’ADEME et FranceAgriMer ont souhaité commander une étude sur ce sujet. Cette note présente les principaux enseignements de ce trava
http://draaf.nouvelle-aquitaine.agriculture.gouv.fr/Un-guide-et-sa-boite-a-outils-pour
Ce guide est issu d’un projet pilote innovant financé dans le cadre des programmes nationaux et régionaux pour l’alimentation.
Mené sur plusieurs années, le projet a commencé au début de l’année scolaire 2013/2014. Il a eu pour but de former, informer et sensibiliser les élèves du collège MARGUERITE DE VALOIS d’Angoulême et leurs familles à la mise en pratique des "arts de faire culinaires".
Ce programme d’éducation à l’alimentation au collège est composé de 5 modules, regroupant plusieurs actions complémentaires autour de l’alimentation dans le but de rendre les adolescents acteurs de leur consommation.
En parallèle, une recherche-intervention longitudinale a été menée par Emilie Orliange pour analyser le rôle de la mise en pratique des « arts de faire culinaires au collège », comme objet d’autonomisation des jeunes apprentis-consommateurs. L’étude a donc suivi les changements induits par le projet pendant 3 ans sur une cohorte d’élèves, de la 5ème, jusqu’à la 3ème.
S’en est suivi une évaluation de sa reproduction dans un autre établissement (le collège Michelle PALLET d’Angoulême, classé en REP+ en 2014) pour aboutir à la réalisation d’un guide méthodologique ainsi qu’une mallette pédagogique (boite à outils opérationnelle) à destination de la communauté éducative permettant de transférer ce projet dans d’autres établissements.
https://www.inserm.fr/information-en-sante/magazine/inserm-magazine-ndeg47
Lire le magazine : https://fr.calameo.com/read/005154450e360a49aa8bd
Que mangerons-nous en 2050 ? Cette question sera au cœur d’un débat public organisé au Sénat avant la fin de l’année. À l’occasion d’auditions en vue de cet évènement, les sénateurs ont identifié plusieurs tendances alimentaires majeures : la production locale, le bio, les viandes de culture, les algues, les insectes… Alors, mangerons-nous tous bio dans 30 ans ? Quid de la viande d’élevage, des insectes et de la viande de laboratoire… ? Quelques réponses à la lumière de récents travaux et de réflexions d’experts de l’Inserm et d’instituts partenaires.
https://questionsante.org/assets/files/EP/Surpoids_obesite.pdf
Selon l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) « le surpoids et l’obésité se définissent comme une accumulation anormale ou excessive de graisse corporelle qui peut nuire à la santé ». Leur distinction se fait sur base d’un calcul scientifique destiné à évaluer les éventuels risques pour la santé liés au poids : l’Indice de Masse Corporelle (IMC), rapport entre le poids et la taille au carré. Cependant, lorsqu’on parle de surpoids et d’obésité c’est souvent l’aspect esthétique qui vient d’abord en tête. Dans le langage courant, ces deux termes sont d’ailleurs souvent associés à la seule idée d’être gros et donc à un critère de beauté. Ainsi, dans cette brochure, nous ne ferons pas la distinction entre ces termes et parlerons à la fois de surpoids et d’obésité pour évoquer des personnes « jugées » trop grosses.
Dossier nutrition (alimentation et activité physique)
https://www.promosante-idf.fr/dossier/nutrition
Les liens entre nutrition et santé sont avérés. Ce dossier vous permet d'approfondir vos connaissances et vous donne de multiples ressources utiles au montage d'un projet sur le sujet. [Mise en ligne : février 2018 - Dernière publication : juin 2020]
https://www.santepubliquefrance.fr/content/download/262839/2654786
Évolution des messages sanitaires devant accompagner les publicités de certains aliments et boissons et préconisations concernant l'encadrement du marketing des produits gras, sucrés, salés en direction des enfants
Santé publique France préconise de limiter les communications commerciales des produits classes D et E selon le Nutri-Score ainsi que les communications pour les marques associées a ces produits, en télévision et sur Internet pendant les tranches horaires qui sont le plus regardées par les enfants. Ces deux medias représentent 80 à 90% des investissements publicitaires alimentaires ; En complément de ces mesures prioritaires, Santé publique France propose que le dispositif des messages sanitaires soit adapté afin qu'il puisse jouer pleinement son rôle d'incitation comportementale en dissociant les messages sanitaires des annonces publicitaires elles-mêmes.
http://www.senat.fr/notice-rapport/2019/r19-476-notice.html
Rapport d'information de Mme Françoise CARTRON et M. Jean-Luc FICHET, fait au nom de la délégation sénatoriale à la prospective - n° 476 (2019-2020) - 28 mai 2020
Un constat : les systèmes alimentaires développés au cours du XXe siècle dans les pays occidentaux puis diffusés dans de nombreuses parties du monde, ne sont pas durables en termes de consommation de ressources naturelles, d'impacts sur le climat et sur la biodiversité ou encore de santé.
Dans certains secteurs de la société, on observe des tentatives de redéfinition du bien manger, avec une place croissante donnée à la santé, au bien-être et aux préoccupations citoyennes (manger écologique, manger éthique, respect des animaux, manger local...). Mais cette tendance n'est pas générale : elle se heurte à la réalité économique et à des différences sociales qui restent très marquées dans le domaine de l'alimentation.
Comment, dans ce contexte, faire émerger des systèmes alimentaires à la fois plus durables et acceptables ? Le rapport de la délégation à la prospective du Sénat examine deux axes de transformation majeurs : sobriété et végétalisation. Mais la mutation est complexe car il s'agit tout à la fois de favoriser une alimentation satisfaisante pour la santé, satisfaisante pour l'environnement et financièrement accessible à tous, sans pour autant renoncer aux traditions et plaisirs culinaires si importants pour nos territoires et notre pays.
Pour favoriser cette nouvelle transition alimentaire, le rapport de la délégation formule 20 propositions.
Etude Abena 2011-2012 et évolutions depuis 2004-2005
L’Observatoire régional de santé Île-de-France (ORS), l’Unité de surveillance et d’épidémiologie nutritionnelle (Usen, unité mixte de l’Institut de veille sanitaire et de l’Université Paris 13), l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes) et la Direction générale de la cohésion sociale (DGCS) ont publié le 22 mars les résultats de la seconde édition de l’étude Abena sur l’alimentation et l’état nutritionnel des bénéficiaires de l’aide alimentaire, menée en 2011-2012. La première édition, réalisée par l’InVS, avait permis de connaître les consommations alimentaires et les caractéristiques de l’état nutritionnel des personnes ayant recours à l’aide alimentaire en France en 2004-2005.
L’édition 2011-2012 actualise la description des profils socioéconomiques, les habitudes alimentaires et les marqueurs de l’état de santé des bénéficiaires de l’aide alimentaire, et permet de décrire les évolutions intervenues depuis 2004-2005. Les personnes ayant recours à l’aide alimentaire connaissent, en effet, des contraintes liées à leurs conditions de vie qui ont notamment un impact sur leur santé, même si le recours à cette aide devrait permettre d’en atténuer les effets délétères.
HEBEL Pascale, MATHE Thierry, CREDOC, CONSOMMATION & MODES DE VIE N°CMV311
Entre liberté et contrainte, la notion d’incitation comportementale a investi le champ des politiques publiques, l’objectif étant d’amener les individus à adopter des comportements allant dans le sens de l’intérêt général. Cette responsabilisation sur le long terme peut contribuer à résoudre plus rapidement des crises comme celle du coronavirus. Les étiquetages, aussi bien énergétique que nutritionnel ou environnemental font partie des outils dont peuvent se servir les pouvoirs publics. Mais sont-ils connus et utilisés par tous ? Les résultats de l’enquête du CRÉDOC Tendances de consommation montrent que si l’étiquetage énergétique est largement connu et utilisé, le Nutri-Score, plus récent et non obligatoire, a une notoriété beaucoup plus faible : seuls 4 Français sur 10 le connaissent. Il rencontre la réticence de certains industriels et n’est, de ce fait, présent que sur environ 30 % des produits alimentaires. Visant à inciter les Français, notamment les populations défavorisées, à mieux s’alimenter, son utilité est largement reconnue. Mais pour l’instant, ce sont les catégories les plus éduquées et les classes sociales les plus élevées qui le connaissent et l’apprécient. La crise du COVID19 devrait inciter de plus en plus de consommateurs à lire les étiquettes afin de mieux consommer pour se prémunir des risques pour leur santé ou pour acheter des produits locaux.
Mise en oeuvre du PNNS 4 par les ARS
https://solidarites-sante.gouv.fr/fichiers/bo/2020/20-01/ste_20200001_0000_0055.pdf
La note d'instruction parue en février 2020 présente les modalités de déclinaison du Programme national nutrition santé 2019-2023 par les agences régionales de santé.
https://www.cbcs.be/Alimentation-durable-vers-une-alimentation-de-qualite-pour-tous-avec-tous
Pourquoi faire le lien entre alimentation durable et aide alimentaire ? Pour la Fédération des Services Sociaux (FDSS), le rapprochement de ces deux univers offre une nouvelle manière de penser le droit à l’alimentation. Et interroge les enjeux de la participation – des usagers, des chercheurs, des travailleurs sociaux - à la co-construction d’un accès à une alimentation de qualité pour tous. Visiter le site Solidarité en primeur(s) : « vers de nouveaux rapprochements entre le secteur de l’aide alimentaire et les systèmes d’alimentation durable à Bruxelles ».
https://serval.unil.ch/resource/serval:BIB_715EE027F0B7.P001/REF
Introduites en 1987 sur le marché européen, les boissons énergisantes ont fait l’objet d’études scientifiques par rapport à leurs effets sur la santé, particulièrement auprès de certaines populations considérées comme étant plus à risque (enfants, femmes enceintes, personnes avec des problèmes cardiaques, etc.) et aux effets d’une consommation simultanée de boisson énergisante et d’alcool.
Cependant, si les effets du sucre sur la santé sont aujourd’hui bien connus, des débats autour des effets d’autres substances telles que la caféine et la taurine, deux ingrédients principaux des boissons énergisantes, persistent encore dans le monde scientifique.
https://resiliencealimentaire.org/
Cette publication inédite marque l’aboutissement d’un travail de recherche d’un an et demi, conduit par l’association Les Greniers d’Abondance et de nombreux partenaires scientifiques, experts et acteurs de terrain. Il expose les vulnérabilités du système alimentaire contemporain face à différentes crises systémiques : changement climatique, épuisement des ressources, effondrement de la biodiversité… À l’occasion des élections municipales, nous invitons les communes et intercommunalités à se saisir de cet enjeu, en leur proposant un ensemble cohérent d’actions et de leviers à mettre en œuvre à leur échelle.
Construire un projet en s'appuyant sur des méthodes éprouvées favorise l'atteinte des objectifs. Présentation de méthodologies générales en promotion de la santé, et des spécificités pour les projets liés à la nutrition (alimentation et/ou activité physique).
Au cours de l’élaboration de ces recommandations opérationnelles, Santé publique France a tenu compte des connaissances, des croyances et des comportements de la population sur l’alimentation, l’activité physique et la sédentarité afin d’aboutir à des messages qui soient les plus compréhensibles et acceptables possibles. Les attentes relatives à des conseils sur l’alimentation, l’activité physique et la sédentarité différant selon les personnes, l’agence s’est donné pour objectif de formuler deux niveaux de recommandations, permettant ainsi de combiner la simplicité des conseils pour l’ensemble des usagers et la précision pour les personnes plus impliquées.
http://equiterre.org/projet/ecoles-enracinees/recette-pour-reussir-des-ateliers-culinaires
Voir la vidéo de présentation : suivre ce lien
Offrez aux élèves de votre école la chance de développer leur goût pour la cuisine et les aliments sains!
Né du projet Écoles enracinées et de la collaboration de plusieurs partenaires, ce guide pratique a pour objectif de favoriser et d’optimiser la réalisation d’ateliers culinaires. Il appuie les intervenants dans l’organisation, la planification et l’animation, et les aide à faire le bilan de ces activités. Les étapes proposées et leur séquence peuvent être adaptées aux réalités des différents milieux.
Ce guide a été conçu pour les services de garde scolaires, mais peut être utilisé par les autres intervenants du milieu scolaire primaire (ex. : en classe avec les titulaires) ou d’autres milieux (ex.: organismes communautaires, services éducatifs à l’enfance).
Consultez l'avis (résumé) - http://www.cna-alimentation.fr/v2/wp-content/uploads/2018/10/Avis-81-R%C3%A9sum%C3%A9-4-pages.pdf
L'avis complet - http://www.cna-alimentation.fr/v2/wp-content/uploads/2018/09/CNA-Avis-81-Alimentation-favorable-%C3%A0-la-sant%C3%A9.pdf
Le Conseil National de l'Alimentation (CNA) plénier a adopté à l'unanimité, en septembre 2018, l'avis n°81, Alimentation favorable à la santé. La problématique retenue est la suivante : qu'est-ce qu'une alimentation favorable à la santé et comment l'assurer pour tous ?
Le HCSP propose de nouveaux axes de messages sanitaires potentiellement utiles à l’information des consommateurs, et qui accompagneront les messages publicitaires. Ces messages (ou avertissements) sont basés sur les nouveaux repères de consommation alimentaire actualisés par l’avis du HCSP du 16 février 2017.
Santé publique France est chargée d’élaborer leur forme définitive...
http://inpes.santepubliquefrance.fr/SLH/pdf/sante-action-444.pdf
L’ alimentation, ainsi que l’activité physique et la sédentarité, sont des déterminants majeurs de maladies chroniques telles que les maladies cardiovasculaires, certains cancers, le diabète, l’obésité ou l’ostéoporose. Outre l’impact au niveau individuel, la prévalence élevée de ces maladies engendre un coût considérable au niveau sociétal. À titre d’exemple, d’après un récent rapport de la Direction Générale du Trésor, le coût social de la surcharge pondérale avoisinait en France les 20 milliards d’euros (1 % du PIB) en 2012
http://www.igas.gouv.fr/IMG/pdf/2017-021R.pdf
Pr.D.Nizri (IGAS) – S.Rocq (CGAAER) – M.Caffin-Ravier (IGAENR)
Le rapport dresse un état des lieux des informations disponibles en restauration collective et propose des pistes pour améliorer le choix du consommateur dans un objectif de santé publique.
Il constate ainsi que l’information nutritionnelle du convive est très faible, mais que certains acteurs ont d’ores et déjà adopté des démarches pouvant être mises à profit.
Considérant que l’information nutritionnelle est un outil qui peut et doit s’intégrer dans une stratégie d’éducation à l’alimentation, la mission souligne l’effet d’entrainement que peut engendrer l’amélioration de cette information en restauration collective, en donnant à l’utilisateur des repères lui permettant non seulement d’orienter ses choix, mais également de formuler ses attentes.
La réduction de la consommation de boissons sucrées représente un objectif prioritaire pour un nombre croissant d’instances de santé publique à travers le monde pour lutter contre les maladies chroniques et l’excès de poids. Pour y parvenir, le World Cancer Research Fund recommande la mise en place d’un ensemble de politiques publiques qui incluent notamment la taxation des boissons sucrées. Certains pays comme la France et le Mexique ont déjà implanté une telle taxe.
https://www.inspq.qc.ca/publications/2383
Cette analyse vise à soutenir les décisions ministérielles quant à la pertinence et la faisabilité d’implanter des cibles de composition nutritionnelle pour certaines catégories d’aliments. Plus précisément, les informations issues de ce rapport pourront guider le choix d’éventuelles catégories d’aliments ciblées ainsi que le choix des paramètres de celles-ci. Ce projet est réalisé dans le cadre de la mesure 3.2 de la Politique gouvernementale de prévention en santé de 2016 visant à Améliorer la qualité nutritive des aliments au Québec.
Pour une restauration événementielle durable.
Cafés d’accueil, déjeuners, dîners,cocktails, packs lunch… Quelle que soitsa forme, la restauration événementielle génère des impacts sur l’environnement qui nous amène, en tant qu’organisateur d’évènements à nous interroger sur nos pratiques.
Les différents travaux que nous avons pu mener sur l’alimentation durable avec nos partenaires nous ont permis d’identifier plusieurs leviers permettant de diminuer sensiblement cet impact environnemental : une meilleure gestion des approvisionnements, la chasse au gaspillage alimentaire, le travail sur les menus et recettes et la logistique d’accompagnement sont autant de pistes pragmatiques sur lesquelles nous souhaitons aujourd’hui vous accompagner
Pour une restauration événementielle durable.
Cafés d’accueil, déjeuners, dîners,cocktails, packs lunch… Quelle que soitsa forme, la restauration événementielle génère des impacts sur l’environnement qui nous amène, en tant qu’organisateur d’évènements à nous interroger sur nos pratiques.
Les différents travaux que nous avons pu mener sur l’alimentation durable avec nos partenaires nous ont permis d’identifier plusieurs leviers permettant de diminuer sensiblement cet impact environnemental : une meilleure gestion des approvisionnements, la chasse au gaspillage alimentaire, le travail sur les menus et recettes et la logistique d’accompagnement sont autant de pistes pragmatiques sur lesquelles nous souhaitons aujourd’hui vous accompagner
https://www.inserm.fr/information-en-sante/dossiers-information/nutrition-et-sante
La santé passe par l’assiette et l’activité physique
Les liens entre nutrition et santé sont de mieux en mieux connus. Le risque de développer de nombreuses maladies - cancer, maladies cardiovasculaires, obésité ou encore de diabète de type 2 - peut être réduit en suivant les recommandations nutritionnelles nationales. Fondées sur de multiples études scientifiques, ces recommandations évolueront avec l’acquisition de nouvelles connaissances.
https://www.fabrique-territoires-sante.org/sites/default/files/recueil_inspiraction_alimentation.pdf
Suite à un appel à témoignages lancé en septembre, la Fabrique Territoires Santé a publié un dossier ressources et un recueil d’« Inspir’Actions » présentant des dispositifs lancés par les territoires pour garantir à chacun, et en particulier aux publics précaires, une alimentation de qualité.
Aide alimentaire, restauration collective, épicerie solidaire, jardins partagés, recours aux circuits courts, à la distribution directe, à l’agriculture locale… les leviers abordés sont multiples et les CCAS occupent une place de choix, avec notamment la présentation détaillée d’actions menées à Bordeaux, Loon-Plage, Reims et Villefontaine. Un focus sur Mayotte permet également d'éclairer la situation du département.
Alimentation : Garantir localement la qualité pour tous
https://www.fabrique-territoires-sante.org/sites/default/files/recueil_inspiraction_alimentation.pdf
Suite à un appel à témoignages lancé en septembre, la Fabrique Territoires Santé a publié un dossier ressources et un recueil d’« Inspir’Actions » présentant des dispositifs lancés par les territoires pour garantir à chacun, et en particulier aux publics précaires, une alimentation de qualité.
Aide alimentaire, restauration collective, épicerie solidaire, jardins partagés, recours aux circuits courts, à la distribution directe, à l’agriculture locale… les leviers abordés sont multiples et les CCAS occupent une place de choix, avec notamment la présentation détaillée d’actions menées à Bordeaux, Loon-Plage, Reims et Villefontaine. Un focus sur Mayotte permet également d'éclairer la situation du département.
Les pays développés connaissent une montée préoccupante des déséquilibres alimentaires. Les jardins collectifs, s’ils sont bien utilisés, favorisent une amélioration des pratiques alimentaires. Depuis une quinzaine d’années, on assiste à une multiplication des jardins partagés. Mais on constate aussi une inégalité d’accès à ces jardins au détriment des ménages les plus modestes. De plus, les modes d’animation de ces jardins limitent leur efficacité alimentaire et nutritionnelle. Un renouvellement des méthodes est indispensable
Programmes alimentation / Activité physique en Europe
http://alimentation-sante.org/wp-content/uploads/2018/02/Livre-blanc-Colloque-FFAS-2017.pdf
Publication de la synthèse du colloque FFAS du 26 octobre 2017
L’objectif de ce document est de restituer les bonnes pratiques identifiées lors de la mise en place de différents programmes de prévention et de promotion de la santé dans les domaines de l’activité physique et de l’alimentation.
Plus de trente spécialistes de ces thématiques et des domaines du marketing social comme du changement de comportement nous font part dans cette brochure des facteurs clés de succès à prendre en compte lors des mises en place de programmes à l’échelle locale, régionale ou nationale.
Dans le cadre du Plan Cancer 2014-2019, Santé publique France est pilote de l’action 11.6 visant à développer l’éducation sur l’alimentation et l’activité physique dès la maternelle et le primaire notamment pendant le temps périscolaire. Pour répondre à cet objectif, l’agence a réalisé un état des lieux des actions mises en place dans ce domaine et proposé des pistes d’amélioration.
http://agriculture.gouv.fr/mots-cles/etats-generaux-de-lalimentation
Les États généraux de l'alimentation, lancés le 20 juillet 2017, se sont clôturés le 21 décembre dernier. Pendant 5 mois, ils ont eu vocation à être un temps de réflexion partagée et de construction collective de solutions nouvelles.
Plusieurs actions ont été retenues afin de promouvoir les choix de consommation privilégiant une alimentation saine, sûre et durable
http://www.chaireunesco-adm.com/IMG/pdf/01-sowhat-0617-fr_28novweb.pdf
Le thermomètre affiche 30 °C, vous avez soif et vous vous délectez en imaginant boire une limonade bien fraîche. En effet, les mêmes aires du cerveau s’activent, que vous la buviez réellement, que vous imaginiez le faire ou que vous observiez quelqu’un d’autre le faire. À la simple évocation d’une action, nous ressentonsdu plaisir et de la satisfaction. S’imaginernous fait ressentir et ressentir nous fait croire. La recherche en marketing utilise ces informationspour mieux comprendre nos comportements alimentaireset jouer de la capacité de notre cerveau à simuler.