Pensez à vous inscrire à la lettre électronique bi-mensuelle de Pratiques en santé : https://www.pratiquesensante.org/inscription-lettre/
https://publications.msss.gouv.qc.ca/msss/fichiers/2021/21-825-02W.pdf
Analyser le risque suicidaire tout en suscitant l’espoir et la recherche de solutions
Tout en analysant le risque suicidaire chez l’enfant, vous aurez l’occasion de susciter chez lui l’espoir que la situation va s’améliorer. Vos interventions en ce sens peuvent contribuer à réduire le risque suicidaire. L’étape d’analyse du risque suicidaire s’actualise donc sous la forme d’un échange dynamique fluide avec l’enfant et son entourage et vise aussi à favoriser la recherche de solutions.
Après avoir fait ses preuves dans quelques villes pionnières, l’approche Parler Bambin a fait l’objet d’un déploiement expérimental entre 2016 et 2021 dans une centaine de crèches métropolitaines afin d’en mesurer les effets, donnant naissance au programme national Parler Bambin. L’objectif : former les professionnel.les de crèches pour promouvoir des pratiques favorisant le développement langagier des 0-3 ans, et ainsi prévenir l'apparition d'inégalités dans l'acquisition du langage avant l'entrée à l'école. Cette recherche action, pilotée par l’Ansa et menée par les laboratoires J-PAL (Ecole d’économie de Paris - ENS) et Dynamique du Langage (Lyon II), présente des spécificités sans précédent dans le champ de la petite enfance, ce à plusieurs égards ...
L’éducation de la petite enfance peut offrir de nouvelles opportunités aux enfants défavorisés, à condition que les programmes fassent de l’inclusion un principe directeur. Si la communauté internationale s’est d’ores et déjà engagée en faveur de l’éducation inclusive, les efforts consentis par les différents pays pour étendre cet objectif à la petite enfance sont très variables. L’accès universel est le fondement de l’inclusion, et les pays doivent s’attaquer aux obstacles liés au statut socio-économique, à l’origine ethnique, au sexe, à la langue, au handicap et à l’éloignement des apprenants. Une coopération doit se mettre en place entre plusieurs intervenants pour identifier rapidement les besoins particuliers et fournir des services adaptés, ainsi que des programmes scolaires inclusifs qui favorisent le développement socio-émotionnel et la formation de l’identité des enfants. Enfin, les éducateurs doivent pouvoir acquérir les connaissances, la formation et le soutien nécessaires pour mettre en œuvre des pratiques inclusives et travailler avec des familles de tous horizons.Juillet 2021
Malgré les progrès accomplis ces dernières décennies, des efforts soutenus restent nécessaires pour améliorer les données relatives aux enfants, tant au niveau national qu’international. Pour concevoir, mettre en œuvre et suivre des politiques efficaces en faveur du bien-être des enfants, les responsables publics ont besoin de données qui rendent mieux compte du quotidien des enfants et de ce qui est important pour eux, et qui peuvent détecter au plus tôt les problèmes et les vulnérabilités….
https://igas.gouv.fr/IMG/pdf/2020-074r.pdf
Emilie FAUCHIER-MAGNAN Pr. Bertrand FENOLL, Membres de l’inspection générale des affaires sociales, Avec le concours de la Pr Brigitte CHABROL, Mai 2021
La mission a tout d’abord établi un panorama des professionnels de santé de l’enfant qui se révèle préoccupant. [2] Les différentes composantes de la médecine ambulatoire de l’enfant sont en crise. Dès 2006, le Pr Sommelet, dans son rapport de référence sur la santé de l’enfant et de l’adolescent, soulignait l’importance des problématiques démographiques en matière de médecine de ville de l’enfant ; les difficultés se sont accrues depuis, même si le nombre de pédiatres formé a été sensiblement relevé. [3] Ainsi, la pédiatrie libérale connaît un recul démographique important, particulièrement marqué pour les pédiatres de secteur 1. Actuellement, 8 départements connaissent une densité inférieure à un pédiatre pour 100 000 habitants et l’âge moyen des pédiatres libéraux laisse présager une aggravation de la situation puisque 44 % d’entre eux ont plus de 60 ans. Cette situation pose une question majeure d’accès aux soins pédiatriques pour certaines populations. Cet enjeu est renforcé par la contraction des effectifs médicaux de la PMI et de la médecine scolaire, dont le rôle préventif est essentiel, en particulier auprès des plus précaires
Comme chaque année, le rapport annuel d'activités des Jeunes Ambassadeurs et Ambassadrices du Défenseur des droits (JADE) vient témoigner de la richesse d’un programme de service civique, dédié à l’éducation des jeunes et des enfants à leurs droits par leurs pairs, qui permet une meilleure compréhension du message, tout en renvoyant à une expérience générationnelle partagée
https://tout-petits.org/fichiers/portraitpp2021/Portrait-politiques-publiques_2021.pdf
Ce nouveau Portrait vise à répondre à la question « Comment agir pour favoriser le développement des tout-petits au Québec, et plus particulièrement, quel rôle jouent les politiques publiques? ». Il existe au Québec plusieurs politiques publiques municipales, provinciales et fédérales qui peuvent avoir des répercussions positives sur le bien-être et le développement des tout-petits ainsi que sur la qualité de vie de leur famille. Ce Portrait recense des informations clés sur leur efficacité ainsi que des exemples d’initiatives d’ici ou d’ailleurs qui peuvent devenir des sources d’inspiration pour améliorer nos politiques.
Réalisé avec la collaboration de plus de 60 chercheurs, intervenants et acteurs en petite enfance, l’Observatoire des tout-petits est fier de présenter ce nouveau Portrait, une première au Québec.
https://www.fno-prevention-orthophonie.fr/wp-content/uploads/2018/12/livret-parlemoi-1.pdf
Livret destiné aux parents d'enfants ayant des troubles de la communication. Il contient une description du développement de la communication et des moyens simples pour le stimuler et améliorer la déglutition et l'articulation chez le tout petit.
Ce rapport rend compte des initiatives prises pour maintenir le lien et accompagner les jeunes dans cette période angoissante. Il dresse également des recommandations. Adressées aux acteurs compétents, elles ambitionnent de les aider à mieux répondre aux besoins en santé mentale des MNA dans un contexte pandémique durable qui rend encore plus criants le délaissement et l’exclusion de ces jeunes, largement oubliés des politiques publiques de santé
https://www.psyenfantado.sante.gouv.fr/
Dispositif de soutien psychologique d’urgence pour répondre aux conséquences de la crise sanitaire sur la santé mentale chez les enfants et les adolescents
Je suis parent
Tous les enfants et adolescents âgés de 3 à 17 inclus sont éligibles au dispositif, à condition qu’ils ne présentent pas de signes de souffrance psychique sévère.
Pour commencer le parcours de soins, contactez un médecin (celui qui suit habituellement votre enfant, par exemple).
Lorsque le médecin (le pédiatre, le médecin généraliste, le médecin scolaire, celui du service de PMI, de l’hôpital…) aura orienté votre enfant vers une prise en charge psychologique réalisée par un psychologue, vous pourrez choisir parmi les psychologues partenaires celui qui correspond le mieux à vos besoins (notamment en fonction de sa localisation).
Je suis psychologue
Vous souhaitez participer au programme d'accompagnement psychologique des enfants et des adolescents ? Merci !
Une fois inscrit(e), et en cas d'éligibilité, vos coordonnées apparaîtront dans l'annuaire public des psychologues partenaires sur cette plateforme. La caisse d’assurance maladie à laquelle vous êtes rattaché(e) vous transmettra rapidement la convention signée. Celle-ci garantit le remboursement de l'ensemble des séances que vous réaliserez dans le cadre de ce dispositif.
https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/15/rapports/cion_lois/l15b3974_rapport-information.pdf
Auteur(s) : Jean-François Eliaou - Antoine Savignat
En France, en 2019 on dénombre près de 17 000 mineurs non accompagnés (MNA) principalement originaires de la Guinée, du Mali et de la Côte d’Ivoire. La direction de la protection judiciaire de la jeunesse (DPJJ) estime que de 2 000 à 3 000 MNA sont délinquants, soit environ 10 % de l’ensemble de ces mineurs : "Majoritairement de jeunes hommes originaires des pays du Maghreb, ils se distinguent des autres MNA par des parcours migratoires chaotiques particulièrement traumatisants, puis par une vie d’errance une fois arrivés en France. Souvent victimes de réseaux de traite, ils sont délinquants et polytoxicomanes".
Après avoir entendu près de 90 professionnels représentant l’ensemble des personnes chargées, directement ou indirectement, du traitement de ce type de délinquance : associations, forces de l’ordre, magistrats, avocats, la Défenseure des droits, ainsi que M. le secrétaire d’État en charge de l’enfance et des familles, les rapporteurs formulent 18 recommandations.
https://www.zhaw.ch/fr/gesundheit/forschung/gesundheitswissenschaften/projekte/take-care/
Les problèmes psychiques sont souvent difficiles à déceler chez les enfants et les adolescents. Or, l’identification précoce de difficultés de développement est essentielle pour contrer une évolution défavorable. Dans un projet de recherche conjoint, l’Institut des sciences de la santé et l’Institut de psychologie appliquée de la ZHAW ont élaboré un flyer et des brochures destinés à sensibiliser les adolescents, les parents et les professionnels au thème de la santé mentale.
https://ec.europa.eu/info/sites/info/files/1_fr_act_part1_v2_0.pdf
L’ambition première de cette stratégie est d’offrir aux enfants dans l’Union européenne et partout dans le monde la meilleure vie possible. Elle réaffirme les droits et le rôle des enfants dans notre société. Les enfants nous inspirent et sont en première ligne dès lors qu’il s’agit de sensibiliser aux crises liées à l’environnement et au changement climatique, aux discriminations et à l’injustice. Ils sont tout autant les citoyens et les chefs de file d’aujourd’hui qu’ils seront les dirigeants de demain. Cette stratégie vise à ce que nous assumions notre responsabilité partagée d’unir nos forces en vue de respecter, de protéger et de mettre en œuvre les droits de chaque enfant; afin de bâtir avec nos enfants des sociétés plus saines, plus résilientes, plus justes et plus égales pour tous.
C’est grâce à vous, ses parents et son entourage, que votre enfant apprend à parler.
Ce livret vous accompagne jusqu’aux 3 ans de votre enfant.
Langage, oralité, activités, la Fédération nationale des orthophonistes (FNO) vous conseille et répond à vos questions.
Découvrez ce livret réalisé par la commission Prévention et promotion de la Santé de la FNO. Illustrations par Virgine Barbellio
https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/sites/default/files/2021-03/er1189.pdf
En 2018, en France métropolitaine, un enfant sur trois vit en territoire rural. Ces enfants résident plus souvent avec leurs deux parents dans une famille « traditionnelle » que ceux des espaces urbains. Ils vivent moins souvent que les enfants urbains dans des familles pauvres (13 % contre 23 %) ou très aisées. Il y a en effet, dans les territoires ruraux, moins de familles monoparentales ou nombreuses, des parents plus souvent en emploi mais moins fréquemment dans les catégories sociales les plus favorisées, et moins de logements sociaux. Les enfants ruraux ont des conditions de logement plus favorables : neuf sur dix ont leur propre chambre et vivent dans une maison avec un espace extérieur (jardin, terrain, cour), contre respectivement sept sur dix et cinq sur dix en milieu urbain. En revanche, ils vivent plus loin des services et des équipements. Ils disposent, par exemple, en moyenne de huit places en crèche à moins de 15 minutes pour cent enfants de moins de 3 ans, contre vingt-six en milieu urbain. Leur temps d’accès aux professionnels de santé, en particulier aux spécialistes, est également plus long que celui des enfants urbains. Ils résident en moyenne à 25 minutes en voiture d’un pédiatre, contre 7 minutes en milieu urbain. Ils sont aussi plus éloignés de certains équipements culturels (cinémas, musées) et sportifs.
https://rm.coe.int/publication-handbook-on-children-s-participation-fr/1680a1453a
Ce manuel s’adresse aux professionnels qui travaillent pour ou avec les enfants et qui exercent une influence directe ou indirecte sur la vie des enfants, quels que soient leur parcours ou leur formation, ou le contexte dans lequel ils interviennent. Quoi qu’il en soit, j’espère que cet ouvrage vous sera utile et que vous rejoindrez le mouvement en prenant des mesures audacieuses pour promouvoir ou mettre en œuvre la participation des enfants. Nos sociétés vieillissantes doivent faire une place à la jeunesse engagée et dynamique. La meilleure façon d’y parvenir est de protéger les droits des enfants, et de commencer à planifier l’avenir, pour eux et avec eux
https://equilibre.ca/product/trousse-doutils-gestionnaire-petite-enfance/?add-to-cart=13773
https://equilibre.ca/wp-content/uploads/2021/02/Description-de-la-trousse-gestionnaire.pdf
Comment se développe l’image corporelle
à la petite enfance ?
• Pourquoi est-il important pour un tout-petit de développer une image corporelle positive ?
• Pourquoi l’image corporelle se développe-t-elle différemment chez les filles et les garçons ?
• Quel est le rôle des milieux de la petite enfance pour favoriser le développement d’une image corporelle positive chez les tout-petits ?
• Quels sont les outils disponibles dans la trousse et quels sont leurs objectifs ?
• Comment implanter ces outils et mettre en place des interventions qui dureront dans le temps ?
Le cadre de référence vise à :
- améliorer la qualité de l’évaluation des informations préoccupantes pour faciliter la prise de décision sur les suites à donner ;
- harmoniser les pratiques sur l’ensemble du territoire pour permettre une équité de traitement pour les enfants/adolescents et leurs familles.
La Haute Autorité de santé publie le premier cadre national de référence pour l’évaluation globale de la situation des enfants en danger ou risque de danger. Il fait suite à une demande de la Direction générale de la cohésion sociale (DGCS), et du secrétariat d’État en charge de l’enfance et des familles auprès du ministre des solidarités et de la santé, dans le cadre de la stratégie nationale de prévention et de protection de l’enfance, et du plan interministériel de mobilisation et de lutte contre les violences faites aux enfants.
Différents rapports ont mis en évidence la persistance de certaines difficultés ou récurrences dans le dispositif de recueil et de traitement des informations préoccupantes, notamment :
des difficultés à respecter les délais de traitement prévus par la loi ;
une absence d’outils partagés au niveau national, une diversité des organisations et des pratiques en fonction des conseils départementaux et parfois au sein d’un même territoire (processus de traitement, professionnels mobilisés, modalités d’évaluation, etc.) ;
un manque d’échanges sur les pratiques du côté des professionnels de terrain.
Défenseur des droits
https://www.defenseurdesdroits.fr/sites/default/files/atoms/files/ddd_rae_rapport.pdf
5 recommandations pour écouter et entendre :
1 - Le Défenseur des droits recommande aux établissements scolaires de veiller à ce que, dans tout processus d’orientation scolaire, les enfants soient entendus et respectés dans leurs souhaits.
2 - Le Défenseur des droits recommande que soit organisée, par tous moyens, la consultation des enfants, dans le cadre de l’examen des projets et propositions de loi ayant une incidence directe sur leur vie quotidienne. La consultation pourrait notamment s’appuyer sur les instances existantes, permettant de recueillir leurs paroles (conseil municipaux d’enfants et de jeunes, Parlement d’enfants…), dès lors qu’elles sont représentatives de la diversité des enfants.
3 - Le Défenseur des droits recommande au garde des Sceaux de faire respecter le droit de l’enfant à être auditionné en justice, en réformant l’article 388-1 du code civil. Il recommande également de réformer l’article 338-4 du code de procédure civile par voie réglementaire, pour que l’audition de l’enfant qui demande lui-même à être entendu dans le cadre d’une procédure le concernant soit de droit, sans qu’il ne soit plus fait référence à sa capacité de discernement. Il recommande enfin de compléter l’article 338-1 du code de procédure civile pour prévoir que le mineur de 10 ans et plus soit personnellement informé par le greffe de son droit d’être entendu.
4 - Le Défenseur des droits recommande à toutes les structures qui accueillent ou prennent en charge des enfants de se doter d’outils d’évaluation de leur dispositif de participation des enfants et du recueil de la parole des enfants. L’opinion de l’enfant doit être recueillie dans le cadre de l’évaluation de ces outils.
5 - Le Défenseur des droits recommande aux pouvoirs publics d’œuvrer afin que les professionnels intervenant auprès des enfants bénéficient d’une formation initiale et continue sur les droits de l’enfant en général, sur le droit à la participation en particulier, ainsi que sur les stades de développement des enfants et à l’écoute active. Il recommande également que les parents soient sensibilisés, par tous moyens, aux droits de l’enfant et à la participation des enfants. Défenseur des droits, 2020
https://www.radix.ch/media/svuhh1aw/argumentaire_2018_alliance_pse.pdf
Les enfants et les jeunes passent une grande partie de leur journée à l’école durant l’année scolaire, c’est pourquoi l’école joue un rôle important comme lieu d’apprentissage et de vie. Cet argumentaire montre comment la santé, le bien-être, la motivation et le succès scolaire des élèves sont liés à l’enseignement, au climat scolaire et à la santé des enseignants et enseignantes ainsi que des directeurs et directrices des écoles.
https://www.ccomptes.fr/system/files/2020-11/20201130-synthese-protection-enfance.pdf
La protection de l’enfance concerne les politiques ou les mesures directement tournées vers les mineurs, tendant à prévenir ou suppléer une défaillance familiale, comme le prévoit l’article 375 du code civil . Le nombre d’enfants ayant bénéfi cié d’une mesure de protection ne cesse de progresser. Il atteint 328 000 fi n 20181, ce qui représente une hausse de 12,1 % entre 2009 et 2018 .
Les mineurs non accompagnés (MNA) expliquent un tiers de l’augmentation du nombre d’enfants concernés : pour la seule année 2019, ce sont ainsi près de 17 000 jeunes reconnus mineurs qui ont été orientés vers les services spécialisés en vue d’une prise en charge . Globalement, l’État et les départements ont consacré 8,4 Md€ à la politique d’aide sociale à l’enfance en 20182, dont 7,99 Md€ à la charge des départements, en progression pour les collectivités de 23,7 % par rapport à 2009
18 novembre : Journée de l'abolition des abus sexuels contre les enfants
Chaque année, le Conseil de l'Europe invite ses partenaires à se concentrer sur un thème spécifique à l'occasion de la Journée européenne.
Edition 2020 : Prévenir les comportements à risque des enfants : images et/ou vidéos à caractère sexuel autogénérées par les enfants - https://www.coe.int/fr/web/children/2020-edition
Le document : Prévenir les comportements à risque des enfants : images et/ou vidéos à caractère sexuel autogénérées par les enfants : https://rm.coe.int/edition-2020-prevenir-les-comportements-a-risque-des-enfants-images-et/16809fd60f
Edition 2019 : Le sujet de l'année 2019 : La participation des enfants : https://www.coe.int/fr/web/children/2019-edition
Le document : Donner aux enfants le pouvoir de mettre fin aux violences sexuelles : https://rm.coe.int/plaquette-journee-europeenne-2019-web-a5-fr-donner-aux-enfants-le-pouv/168094b55a
Ce dernier rapport de l'Unicef (dans la série des bilans Innocenti) classe les Pays-Bas, le Danemark et la Norvège en tête des 38 pays de l'UE et de l'OCDE en termes de bien-être des enfants, et place la France au 7ème rang tout en pointant les disparités et fragilités de la situation française. Il alerte sur les menaces importantes qui guettent les enfants des pays riches : le suicide, le mal-être, l'obésité et le manque de compétences sociales et scolaires devenues des caractéristiques bien trop courantes de l'enfance dans les pays riches. Pour que chaque enfant vive une enfance heureuse, l’UNICEF appelle les pays à revenu élevé à intervenir sur trois fronts : consulter les enfants en les faisant participer aux décisions, relier les politiques publiques, poser des fondations solides (réduire la pauvreté, améliorer les services de santé mentale, renforcer la vaccination...)
Au cours des dernières années, de nombreuses politiques gouvernementales et initiatives ont été mises en place dans le but précisément de soutenir le développement des enfants. Parmi celles-ci, le plan d’action interministériel en itinérance 2015- 2020 Mobilisés et engagés pour prévenir et réduire l’itinérance (2014, Gouvernement du Québec), propose une série d’actions, dont celle visant à favoriser le développement et le bien-être des jeunes confiés aux services de protection de la jeunesse et de faciliter leur transition vers l’âge adulte. Un des moyens proposés est d’évaluer le développement de tous les enfants et les jeunes suivis en centre jeunesse à partir d’un outil clinique recommandé par le MSSS et d’en assurer le suivi.
https://www.igas.gouv.fr/IMG/pdf/2020-006r.pdf
IGASIGAS - CHERUBINI, Corinne ; DUBOSQ, Christian ; MARQUIS SAMARI Emilie ; CONRATH, Elise - Juin, 123 p. (Rapport, 2020-006R), mis en ligne en septembre 2020L’IGAS a été missionnée pour étudier le périmètre, les missions, la gouvernance et le statut juridique d’un organisme national de référence couvrant l’ensemble du champ de la protection de l’enfance. Après une expertise de la situation actuelle et des scénarios possibles, la mission recommande le renforcement de la gouvernance de la protection de l’enfance via la création d’un nouvel organisme national se substituant aux quatre actuels, chargé d’apporter un appui technique aux acteurs de proximité, sur un champ d’intervention élargi.
https://www.institutta.com/formations/revivez-congres-ete
L’impact de la pandémie de la COVID-19 et de l’incertitude qui l’entoure est important, autant pour les élèves que pour les adultes. Tous ont et font encore preuve d’une grande créativité et de flexibilité pour s’adapter à ce contexte.
Afin d’aider tous les intervenants à préparer au mieux la réouverture des classes, notamment avec les élèves et étudiants à besoins particuliers, l’Institut des troubles d’apprentissage vous propose de revivre son Congrès d’été, en accédant aux rediffusions de plus de 35 conférences du 24 août au 31 octobre 2020.
Le présent dossier de connaissance contribue à mettre à disposition de ces professionnels, des informations récentes, relatives aux troubles neurodéveloppementaux. Il présente l’ensemble des troubles concernés selon la classification internationale du Manuel diagnostique et Statistique des troubles Mentaux (DSM). Il donne des repères de développement chez l’enfant de 3 à 6 ans afin d'identifier les signes d’alerte. Il insiste sur l’importance des interventions précoces pour limiter les sur-handicaps et présente les modalités de leurs mises en œuvre. Il précise également les étapes administratives à effectuer pour bénéficier de la reconnaissance du handicap et profiter des aides, prestations et prise en charge médicosociale correspondantes permettant un meilleur accompagnement. Pour finir, il présente à titre indicatif différents programmes de recherche et interventions fondées sur les preuves avant de signaler des pratiques professionnelles intéressantes et expérimentales mis en œuvre sur le territoire qui tendent également vers la réalisation des objectifs présentés dans la Stratégie nationale pour l’autisme et des troubles du neurodéveloppement ainsi que vers l’application des recommandations de bonnes pratiques professionnelles de la Haute Autorité de Santé (HAS)
https://grvs06.org/good-behavior-game-gbg/
Le programme Good Behavior Game (GBG) est un programme de renforcement des compétences psychosociales destiné aux enfants de l’école primaire, Des études scientifiques publiées dans la littérature internationale attestent de son efficacité en matière d’amélioration du climat scolaire mais aussi de prévention des risques psychosociaux sur le long terme. Il propose aux enseignants une stratégie de gestion de classe basée sur l’enseignement ritualisé des comportements sociaux, la coopération et l’éducation positive. Initialement d’origine américaine, il a été adapté pour la France par le GRVS lors d’un essai-pilote conduit en partenariat avec plusieurs écoles situées dans les Alpes-Maritimes. Aujourd’hui, le GRVS assure son déploiement dans plusieurs académies en collaboration avec des partenaires locaux impliqués dans le domaine de la prévention des conduites à risques, spécialement formés pour accompagner les enseignants dans la mise en oeuvre.
Depuis 2009, une enquête internationale s'intéresse au monde des enfants de 8 à 12 ans : la Children's Worlds Survey. Elle explore les activités quotidiennes des enfants, leur utilisation du temps et, en particulier, leurs propres perceptions de leur bien-être dans différents domaines de leur vie (famille, école, amis, loisirs, etc.). La première vague a commencé dans 14 pays. Dix ans plus tard, 40 pays, dont la France, se sont impliqués dans la 3ème vague de l'enquête rassemblant les points de vue de plus de 90 000 enfants à travers le monde. L'objectif de cette enquête est d'améliorer le bien-être des enfants en sensibilisant les enfants, leurs parents, les leaders d'opinion, les décideurs, les professionnels et le grand public.
https://handicap.gouv.fr/IMG/pdf/brochure_reperage_tnd_2020.janv.pdf
Délégation interministérielle à la stratégie nationale pour l'autisme au sein des troubles du neuro-développement
Le repérage des troubles du neuro-développement (TND) est une priorité d’action pour les pouvoirs publics car des interventions adaptées, mises en œuvre le plus précocement possible, permettent de modifier favorablement la trajectoire développementale des enfants.
Didier Jourdan, Nicola Gray, Rémi Laporte
À mesure que les établissements scolaires rouvrent leurs portes émerge la question de l’accueil réservé aux enfants les plus vulnérables. L’utilisation généralisée de ce terme « vulnérable » pour décrire un groupe très diversifié d’enfants et de jeunes traduit l’attention particulière qu’il convient de prêter à ceux qui ont le plus besoin de l’école pour réussir. Néanmoins, il n’est pas sans poser de problème, du fait de la variété des sources de cette vulnérabilité. Beaucoup a été écrit sur la vulnérabilité sociale, économique et culturelle liée au handicap. Mais l’accueil des enfants et des jeunes atteints de maladies chroniques, comme l’asthme, le diabète, l’arthrite juvénile, ou souffrant de problèmes de santé mentale, a été peu abordé. Il s’agit pourtant d’un enjeu de premier ordre, plus de 20 % des élèves étant concernés, selon les données de la dernière enquête HBSC – « Health Behaviour in School-Aged Children » – et risquant de se voir exclus a priori du retour à l’école. Les données publiées par les équipes de recherche, les savoirs des personnes concernées et de leurs familles, les expériences d’autres pays et la pratique des professionnels peuvent éclairer ce processus complexe.
La Collection de la Chaire de recherche Bienêtre à l’école et prévention de la violence - Vol 5 no 1 • Janvier 2020
La qualité des différentes interactions de l’enfant avec l’enseignante et les pairs qu’il côtoie en classe joue un rôle important dans son développement global (Mashburn et al., 2008). Le soutien émotionnel offert à l’enfant par l’enseignante de même que l’engagement de ce dernier dans des interactions en classe sont des facteurs clés de ces dernières (Pianta, Downer et Hamre, 2016; Pianta et Hamre, 2009). Sur la base des travaux de Bronfenbrenner (2005), il est possible de penser que ces différentes interactions s’influencent de façon réciproque, voilà pourquoi l’objectif général de cette recherche était d’étudier l’influence entre les dynamiques interactionnelles à l’éducation préscolaire 5 ans. Elle se déclinait en trois objectifs spécifiques : 1) Mesurer le niveau de soutien émotionnel en classe d’éducation préscolaire cinq ans; 2) Décrire l’engagement (positif et négatif) de l’enfant envers son enseignante et ses pairs en classe; 3) Étudier les associations réciproques entre le soutien émotionnel et l’engagement de l’enfant (positif et négatif) en classe.
https://irepsbretagne.fr/spip.php?article219
Dans le contexte particulier d’épidémie au COVID-19, et en nous appuyant sur notre expérience d’accompagnement et de formation des écoles dans le champ des compétences psychosociales, nous avons souhaité au sein de l’IREPS de Bretagne proposer aux enseignants du 1er degré des pistes pour faciliter le retour en classe des enfants en tenant compte des effets du confinement et de leurs liens avec le développement des compétences psychosociales.
Ainsi nous avons élaboré un guide d’activités, que vous trouverez en pièce jointe, qui permet aux enseignants d’aborder, par cycle :
le « Re-vivre » ensemble ;
le vécu pendant le confinement
et les émotions ressenties.
Nous espérons qu’ils aidera le plus grand nombre d’acteurs à poursuivre le travail de mobilisation des compétences psychosociales et de promotion de la santé des enfants.
http://lenational.org/post_free.php?elif=1_CONTENUE/societes&rebmun=3677
Comment opérationnaliser l’approche Écoles promotrices de santé dans un pays comme Haïti, qui fait face à des enjeux sanitaires tels que la gestion des déchets et l’accès à l’eau ? C’est la question abordée par le Dr Érold Joseph dans le neuvième article de sa série Comprendre la santé autrement. Il partage l’expérience d’Haïti et le projet « Certification des Écoles Amies de l’Hygiène ». Ce dernier article clos la portion de la série d’articles portant sur la santé scolaire.
https://promotionsantebretagne.fr/wp-content/uploads/2020/04/doc_CPS_5.pdf
En janvier 2016, le Pôle ressources en Promotion de la santé de Bretagne1 s’est vu confier par l’Agence Régionale de Santé, la mission d’élaborer un document présentant des repères sur le développement des compétences psychosociales à l’école mais aussi dans le cadre de l’accueil péri/extrascolaire en Bretagne.
Ce document a deux objectifs principaux :
• Clarifier le concept de compétences psychosociales, ses représentations et modalités de mise en œuvre
dans différents milieux d’accueil des enfants,
• Identifier les conditions favorables/essentielles à leur développement.
Le 18 mai 2016, un groupe technique régional rassemblant des représentants du milieu scolaire et péri/extra-scolaire, des acteurs institutionnels et les membres du Pôle, a initié la réflexion. Elle s’est poursuivie dans le cadre d’un séminaire de travail organisé dans chaque département. Cinquante-cinq professionnels se sont mobilisés, représentants à part égale le milieu scolaire, le milieu péri/extrascolaire et le milieu de l’éducation pour la santé.
Les acteurs investis dans des démarches relatives au développement des compétences psychosociales ont été
invités à partager leurs représentations et leurs expériences. Le document présent s’appuie sur l’ensemble des réflexions et productions partagées lors des quatre séminaires départementaux
Pour Tdh, le soutien psychosocial est toute relation avec un enfant qui renforce son bien-être et sa capacité de s’adapter. Pour Tdh, cela inclut des activités variées et simultanées au niveau de l’enfant, de la famille, de la communauté et du gouvernement.
Ce document préparatoire pour l’avis du Conseil intitulé Le bien-être de l’enfant à l’école : faisons nos devoirs offre un aperçu des éléments des programmes éducatifs et d’enseignement de la petite enfance à la fin du primaire qui sont de nature à soutenir le développement des compétences sociales et émotionnelles des enfants.
Les influences subies durant la petite enfance entraînent des conséquences importantes sur l’état de santé à l’âge adulte. Le comportement de la mère en matière de santé durant la grossesse ainsi que les styles de vie durant la petite enfance peuvent permettre d’éviter des maladies non transmissibles plus tard au cours de la vie, ou au contraire les favoriser.
http://www.onisep.fr/Formation-et-handicap/Guide-Les-eleves-a-besoins-educatifs-particuliers
Existe pour 6 régions voir au bas de l'article
Les besoins éducatifs particuliers concernent des élèves en situation de handicap, malades, intellectuellement précoces, nouvellement arrivés en France, en milieu carcéral... "Scolariser les élèves à besoins éducatifs particuliers" paraît dans 5 régions : Bretagne, Grand Est, Ile-de-France, Provence-Alpes-Côte d'Azur et dans l’académie d'Amiens. Cette publication, destinée aux équipes éducatives, familles et professionnels chargés de leur accueil présente les parcours scolaires possibles et les dispositifs mis en place.
http://circulaires.legifrance.gouv.fr/pdf/2018/11/cir_44137.pdf
« Dans le cadre de la stratégie pour l’autisme au sein des troubles du neuro-développement 2018- 2022, le gouvernement a fixé comme objectif la mise en place d’un parcours coordonné de bilan et intervention précoce d’un an pour les enfants de 0 à 6 ans inclus, afin d’accélérer l’accès à un diagnostic, favoriser des interventions précoces sans l’attendre, et ainsi répondre aux problèmes d’errance diagnostique et réduire les sur-handicaps conformément aux recommandations de bonnes pratiques de la haute autorité de santé (HAS). Le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2019 prévoit en ce sens : - la construction d’un parcours coordonné, sécurisé et fluide, respectueux de la situation et des souhaits des familles, dès le repérage d’un développement inhabituel ; - la rémunération des professionnels libéraux suivants contribuant au diagnostic fonctionnel et nosographique selon l’âge de l’enfant : ergothérapeute, psychologue, psychomotricien. »
Cette circulaire a pour objet la création de plateformes d’orientation et de coordination portées par un établissement ou service sanitaire ou médico-social et coordonnant un ensemble de lignes 2 et de professionnels libéraux participant au diagnostic des troubles du neurodéveloppement.
http://www.villes-sante.com/wp-content/uploads/guide_methodo_parentalite_sante-1.pdf
Ce guide, destiné aux collectivités territoriales, a pour objectif de les soutenir dans la mise en place de projets d'accompagnement à la parentalité, dans une vision de promotion de la santé.
Il permet de mieux appréhender les liens entre parentalité et santé, présente l'approche des villes sur le sujet et identifie les leviers mobilisables. Il est illustré par de nombreuses fiches actions de villes santé
http://www.assemblee-nationale.fr/15/pdf/rapports/r1416.pdf
Quelque 1 750 enfants et près de 800 adolescents sont touchés chaque année par un cancer dans notre pays. La moitié d’entre eux le sont avant l’âge de cinq ans. 500 en décèdent. En Europe, ce sont 35 000 enfants et adolescents qui sont diagnostiqués chaque année, causant quelque 6 000 décès. En France comme en Europe, les cancers pédiatriques représentent la première cause de mortalité par maladie des enfants, la deuxième après les accidents. Au regard des 400 000 nouveaux cas de cancers et des 150 000 décès que l’on dénombre dans notre pays chaque année, les cancers pédiatriques sont des maladies rares.
Les influences subies durant la petite enfance entraînent des conséquences importantes sur l’état de santé à l’âge adulte. Le comportement de la mère en matière de santé durant la grossesse ainsi que les styles de vie durant la petite enfance peuvent permettre d’éviter des maladies non transmissibles plus tard au cours de la vie, ou au contraire les favoriser.
Document complet : suivre ce lien
Dépiant : suivre ce lien
http://www.fnors.org/uploadedFiles/publicationsFnors/FNORS_Etat_Sante_Enfants_Age_Scolaire.pdf
À la demande de la Direction générale de la santé (DGS), la Fnors a réalisé un état des lieux des dispositifs existants en France pour suivre l’état de santé des enfants d’âge scolaire, notamment à travers l’implication des ORS sur la mise en place d’études ou la production d’indicateurs auprès de cette population. Dans un premier temps, ce document présente les dispositifs de suivi de la santé des enfants en milieu scolaire en France et les indicateurs disponibles à l’échelle nationale. Puis, afin de mettre en av-ant les démarches locales, un état des lieux est réalisé et porte sur les travaux des ORS impliqués pour l’exploitation de données issues de dispositifs existants ou pour la mise en place d’enquêtes spécifiques. Chaque système d’information mis en place par les ORS fait l’objet d’une fiche de synthèse en annexe du document.
http://inpes.santepubliquefrance.fr/SLH/pdf/sante-action-445.pdf
La promotion de la santé repose sur une approche globale de la santé telle que définie par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) depuis 1948. Pour permettre d’appréhender cette acception large de la santé, qui dépasse ses seuls aspects biomédicaux, l’OMS précise que l’ensemble des déterminants de la santé sont « les circonstances dans lesquelles les individus naissent, grandissent, vivent, travaillent et vieillissent ainsi que les systèmes mis en place pour faire face à la maladie ». Ainsi, « à chaque étape de la vie, l’état de santé se caractérise par des interactions complexes entre plusieurs facteurs d’ordre socio‑économique en interdépendance avec l’environnement physique et le comportement individuel ». Ces déterminants de la santé « n’agissent pas isolément. C’est la combinaison de leurs effets qui influe sur l’état de santé ».
http://www.villes-sante.com/colloques-et-seminaires/colloque-petite-enfance-inegalites-villes-2/
Mise en ligne des supports des communications au colloque du 24 mai 2018, à Angers
« La France fait partie des pays où les inégalités sociales de mortalité et de santé (ISS) sont les plus élevées en Europe occidentale et celles-ci n’ont eu aucune tendance à régresser ces dernières années ». Ce constat, dressé lors des journées d’étude 2015-16 de la DREES (Direction de la recherche, de l’évaluation et des statistiques), interpelle et oblige à (ré)agir. Ces inégalités, installées dès 6 ans, persistent tout au long de la vie. C’est pourquoi des études de plus en plus nombreuses soulignent l’intérêt d’agir sur les inégalités sociales de santé de façon précoce, dès le plus jeune âge.
http://drees.solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/er1070.pdf
Le recours aux grands-parents comme solution de garde et d’accueil des jeunes enfants répond à des logiques très spécifiques. Les grands-parents sont rarement le premier mode de prise en charge des enfants de moins de 6 ans : seuls 2 % sont gardés principalement de cette manière. Pourtant, l’intervention des grands-parents est loin d’être anecdotique : environ deux tiers des enfants de moins de 6 ans sont gardés au moins occasionnellement par eux. Les formes d’aide apportée par les grands-parents viennent plutôt compléter les modes d’accueil existants.
Les interventions des grands-parents concernent davantage d’enfants en semaine que les week-ends, mais pour des temps plus courts. Le mercredi fait exception : une forte proportion d’enfants sont gardés pour des durées relativement longues.
https://www.promosante-idf.fr/les-competences-psychosociales-des-enfants-et-jeunes-ados-3-15-ans
Les bénéfices en matière de santé et de bien-être liés aux compétences psychosociales sont avérés. Dossier pour approfondir vos connaissances et donner des ressources utiles au montage d'un projet. [Mise en ligne : 28 mai 2018]
Compétences psychosociales (CPS) : de quoi parle-t-on ? : Les compétences psychosociales sont la capacité d'une personne à répondre avec efficacité aux exigences et aux épreuves de la vie quotidienne. C'est l'aptitude d'une personne à maintenir un état de bien-être mental, en adoptant un comportement approprié et positif à l'occasion des relations entretenues avec les autres, sa propre culture et son environnement. [OMS, 1993]
La politique Santé 2020 a été adoptée par tous les États membres de la Région européenne de l’OMS afin de relever les énormes défis que l’Europe affronte sur le plan social et sanitaire. Elle exhorte le secteur de la santé à se rapprocher des divers secteurs et parties et à poursuivre avec eux le travail d’amélioration de la santé et du bien-être de la population. Au 21ème siècle, l’éducation et la santé ne peuvent plus se permettre d’œuvrer indépendamment l’une de l’autre. ...
Une politique de santé globale pour les enfants et leur famille
Dossier documentaire réalisé par Jean-Pierre Deschamps - SFSP
http://www.sfsp.fr/content-page/111-dossiers-documentaires/3107-sante-des-enfants
La Convention internationale des droits de l’enfant (CIDE, signée à New-York en Novembre 1989) définit l’enfant comme « tout être humain âgé de moins de 18 ans », sauf si la majorité est atteinte plus tôt en raison de la législation qui lui est applicable. Cette définition large appelle deux remarques :
- L’enfance ne commence pas à la naissance, mais à la conception ; l’embryon et le fœtus doivent donc être considérés comme des enfants : s’intéresser à l’enfant dans la période prénatale justifie qu’en santé publique soit souvent évoquée la santé « de la mère et de l’enfant ». Ce sera le cas pour ce dossier documentaire.
- La définition de la CIDE inclut l’adolescence, qui fait par ailleurs l’objet d’un autre dossier documentaire. Dans ce dossier-ci on ne considérera pas une limite fixe. On parlera de l’enfance comme s’achevant au moment de la puberté soit vers 11-13 ans, âge correspondant aussi sensiblement, en France et dans la plupart des pays, à l’entrée dans l’enseignement secondaire.
Lancée en décembre dernier, la concertation destinée à nourrir la stratégie de lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes est désormais achevée. Des objectifs contractualisés entre Etat et départements, un parcours d'accompagnement garanti pour les jeunes, l'accès universel à l'accueil petite enfance en 2030, la refondation des minima sociaux... font partie des propositions des groupes de travail. L'annonce par le président de la République de la stratégie devrait avoir lieu avant la fin du mois d'avril.
http://www.ladocumentationfrancaise.fr/var/storage/rapports-publics/184000032.pdf
(Observatoire national de la protection de l'enfance (ONPE), janvier 2018)
« L'ONPE s'attache, dans ce rapport organisé selon les thématiques d'actualité, à mieux faire connaître la réalité de la protection de l'enfance en France. Ses missions au service de l'amélioration des connaissances reposent sur l'articulation entre, d'une part, la recherche et, d'autre part, l'ensemble des pratiques en protection de l'enfance. »
Les cancers de l'enfant
Le cancer chez l'enfant est une maladie rare qui représente, dans les pays développés, 1 à 2 % de l'ensemble des cancers. On dénombre près de 2 500 nouveaux cas chaque année en France, dont la moitié chez l'enfant de moins de 5 ans et 700 chez les jeunes de 15 à 18 ans. Certaines formes de cancers sont spécifiques à l'enfant et, inversement, la plupart des cancers de l'adulte n'existent pas chez l'enfant.
Durant le parcours scolaire d’un enfant avec une maladie rare ou en situation de handicap rare, enfants et parents côtoient de nombreux professionnels qui ne se connaissent pas forcément. Il est pourtant essentiel que chacun dispose des bonnes informations pour accompagner au mieux l’enfant dans sa scolarité.
Une vidéo, réalisée par la CNSA en lien avec la DGESCO, des filières maladies rares et des équipes relais handicaps rares, récapitule les étapes clés du parcours. Ce support de communication montre l’utilité de l’échange d’informations entre la famille, les professionnels de santé et le corps enseignant, au service du parcours scolaire de l’enfant.