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par Stéphane Menu
Si le sport est reconnu comme un vecteur d’inclusion sociale, il ne suffit pas de mettre quelques sportifs en relation avec le public pour qu’elle se fasse comme par
enchantement. La mise en œuvre d’une telle démarche impose au contraire des critères techniques qui dépassent le simple cadre de la solidarité. L’Iris, France terre d’asile et la Fédération
française de badminton ont réussi ce pari et souhaitent le conceptualiser dans un guide des bonnes pratiques pour permettre aux réfugiés et aux migrants d’utiliser le sport pour mieux
connaître la société dans laquelle ils vivent.
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