Les directives anticipées : comment en parler ?

 

https://www.auvergne-rhone-alpes.ars.sante.fr/system/files/2019-06/La%20fin%20de%20vie%20en%20infographies.pdf

 

Seuls 13 % des Français ont formulé par écrit leurs volontés sur la fin de vie

Les directives anticipées permettent d’exprimer, par avance, la volonté de poursuivre, limiter, arrêter ou refuser des traitements ou actes médicaux, pour le jour où l’on ne peut plus le faire soi-même, par exemple du fait d’un accident ou d’une maladie grave.

Chacun peut écrire ses directives anticipées : elle sont surtout utiles en cas de fin de vie mais pas uniquement. C’est un droit. Il n’y a pas de format imposé, mais il doit obligatoirement comprendre les nom, prénom, date et lieu de naissance, et doit être daté et signé.

Il est conseillé de les rédiger et de les intégrer au dossier médical partagé. La personne peut changer d’avis à tout moment.